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Freud et le nom de l'Autre. Un Moïse de plus
pp. 151-163
Abstrakt
Parmi les nombreuses failles qui parcourent l’histoire de la raison, l’une d’elles oppose la représentation normalisante de l’objet donné à l’appréhension infime de l’objet construit. On a voulu montrer que le travail de Freud se situe plutôt du côté de cette seconde orientation et que l’acceptation et le traitement des « énoncés paradoxaux », qu’il partage avec bien d’autres configurations discursives philosophiques ou religieuses, étaient la marque de la rupture qu’il effectue avec tout dogmatisme scientiste.
Publication details
Published in:
(2000) Sigmund Freud. Revue germanique internationale - ancienne série 14.
Seiten: 151-163
DOI: 10.4000/rgi.812
Referenz:
Ogilvie Bertrand (2000) „Freud et le nom de l'Autre. Un Moïse de plus“. Revue germanique internationale - ancienne série 14, 151–163.